samedi 1 novembre 2014

F(l)ou d'ivresse

Je rentrais apaisée d'un pas incertain.
Le pas à 5 heures du matin du petit bout en train.
Marcher dans la ville et son accalmie matinale.
Seule au monde sur mon île et son calme automnale.
Le silence est d'or dans une ville qui gronde.
Où le temps s'arrête dès que siffle l'aube.
Mes petons avancent, zigzaguants, indécis.
C'est encore l'alcool qui inonde mes nuits.
La vie nocturne est un joyeux funambule,
Qui perd l'équilibre dans cette foire noctambule...

Calamity

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